J'avais eu l'occasion d'être présenté à Georges Descrières, en grand costume d'époque, lors du tournage d'un épisode de la série, aux studios de Boulogne. J'étais tout juste bachelier et c'est un excellent souvenir. C'était la deuxième ou troisième année qu'on diffusait la série qui était alors au faîte de sa popularité. Cette rencontre demeure un moment marquant de mon adolescence, même si, depuis, j'ai évidemment pris conscience du fait que Descrières, bien qu'incarnant de jolie manière le "Lupin de comédie" (ce qui n'est pas le plus difficile), n'avait pas la profondeur nécessaire pour personnifier le Lupin dramatique de "L'Aiguille" ou de "813".
Ce n'est d'ailleurs pas ce qu'on lui demandait, et ce qu'on lui demandait, il le faisait à merveille.
Un coup de huit-reflets à la mémoire de Monsieur Georges!
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J'avais eu l'occasion d'être présenté à Georges Descrières, en grand costume d'époque, lors du tournage d'un épisode de la série, aux studios de Boulogne. J'étais tout juste bachelier et c'est un excellent souvenir. C'était la deuxième ou troisième année qu'on diffusait la série qui était alors au faîte de sa popularité. Cette rencontre demeure un moment marquant de mon adolescence, même si, depuis, j'ai évidemment pris conscience du fait que Descrières, bien qu'incarnant de jolie manière le "Lupin de comédie" (ce qui n'est pas le plus difficile), n'avait pas la profondeur nécessaire pour personnifier le Lupin dramatique de "L'Aiguille" ou de "813".
Ce n'est d'ailleurs pas ce qu'on lui demandait, et ce qu'on lui demandait, il le faisait à merveille.
Un coup de huit-reflets à la mémoire de Monsieur Georges!
Bonjour Dominique et merci pour ce souvenir personnel et pour cet hommage posthume à Monsieur Georges. A bientôt au pied de l'Aiguille...
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