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14/05/2016

ETRETAT : JOURNEES LUPINIENNES 2016

Aiguille Preuve, Journées Lupiniennes

L'Association des Amis d'Arsène Lupin (AAAL) organise ses traditionnelles Journées Lupiniennes 2016 les 21 et 22 mai 2016 à Etretat, haut-lieu des aventures du gentleman-cambrioleur.

Les Journées Lupiniennes célèbreront le 30ème anniversaire de l'AAAL en présence de Madame Florence Leblanc, petite-fille du Maître et membre éminent de l'AAAL. Elles commenceront par l'Assemblée Générale de l'Association le samedi 21 mai au matin, dans les salons du casino d'Etretat (réservée aux membres), suivi d'un banquet puis d'un colloque au cours desquels les lupinologues les plus distingués rendront compte de leurs dernières recherches.

Le banquet lupinien et le colloque de l'après-midi sont ouverts aux non membres de l'AAAL (inscription préalable obligatoire). Le cocktail précédant le banquet sera l'occasion de désocculter le n° 18 de la revue L'Aiguille Preuve et de présenter le dernier né des Editions d'Arsène, Zoé l'Acrobate, une aventure d'Arsène Lupin ? Ce petit livre de Jean-Claude Ichac a été illustré par Bernard Ferreira, le dessinateur de presse bien connu et membre de l'AAAL.

Le Président Hervé Lechat ouvrira le colloque en retraçant l'Historique de l'AAAL, puis se succèderont à la tribune le sculpteur Hervé Delamare (Le Dîner des Bustes : dévoilement du projet du buste de Maurice Leblanc / Arsène Lupin – un projet cher aux Lupiniens), Patrick Gueulle (La Face cachée des Pisseuses ou Les Nouveaux Mystères de L'Aiguille creuse) et Yves Dauphin (Lupin-Tintin ? : Essai de tintino-lupinologie).

Jean-Yves Ruaux proposera, pour conclure, une réflexion collective sur Lupin, Danceny, Cagliostro, Beautrelet, Merteuil, Clarisse, Valmont...séduction, manipulation, perversion, amour.

Le samedi soir, les participants se retrouveront « Aux Huîtres de Marie-Antoinette », pour un dîner à l'occasion duquel le Président d'Honneur de l'AAAL, Pierre-Antoine Dumarquez évoquera Valère Catogan et le secret des rois de France.

La balade lupinienne du dimanche se fera en petit train, à la découverte d'Etretat et de la Falaise d'Amont.

Plusieurs éditeurs participeront à cette manifestation, ainsi que les représentants d'associations littéraires spécialisées dans le roman policier populaire, parmi les plus prestigieuses.

Les écrivains présents dédicaceront leurs livres : l'AAAL a cette année le plaisir d'accueillir Benoît Abtey et Pierre Deschodt, les deux auteurs d'Arsène Lupin - Les Héritiers qui vient de sortir aux Editions XO. Benoît Abtey et Pierre Deschodt sont également les co-scénaristes de la série de BD Arsène Lupin – Les origines.

Le dessinateur Jérôme Félix sera également présent pour parler de son projet de bande dessinée L'Aiguille creuse, qui paraîtra à l'automne 2016.

Le programme des Journées Lupiniennes 2016 et les formulaires d'inscription peuvent être obtenus en adressant un courriel à l'adresse aaal.lupin@gmail.com.

http://aaal.hautetfort.com

http://aaal-lupin.jimdo.com

Contact : aaal.lupin@gmail.com

Zoé,LEA

07/05/2016

LES ETOILES LUI ONT DONNE LA CLEF

[Article de MICHEL HARNAIS paru sur http://www.journaldemontreal.com/2016/05/07/un-ado-decouv... ]

Montréal

(c) PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, MARTIN CHEVALIER

SAINT-JEAN-DE-MATHA | Un Québécois de 15 ans a découvert une nouvelle cité maya jusque-là méconnue grâce à sa théorie selon laquelle cette civilisation choisissait l’emplacement de ses villes selon la forme des constellations d’étoiles.

William Gadoury, un adolescent de Saint-Jean-de-Matha dans Lanaudière, est devenu une petite vedette à la NASA, à l’Agence spatiale canadienne et à l’Agence spatiale japonaise, alors que sa découverte est sur le point d’être diffusée dans une revue scientifique.

Passionné des Mayas depuis plusieurs années, il a analysé 22 constellations mayas et s’est aperçu que s’il reliait sur une carte les étoiles des constellations, la forme de chacune d’entre elles correspondait au positionnement de 117 cités mayas. Aucun scientifique n’avait encore découvert une telle corrélation entre les étoiles et l’emplacement des villes mayas.

Le génie de William a cependant été d’analyser une 23e constellation. Celle-ci contenait trois étoiles et seulement deux cités correspondaient sur la carte. Selon sa théorie, il aurait donc dû y avoir une 118e cité maya dans un endroit reculé et inaccessible dans la péninsule du Yucatan, au Mexique.

Une des 5 plus grosses cités

Des analyses à partir des satellites de différentes agences spatiales internationales ont révélé qu’il y avait effectivement une pyramide et une trentaine de bâtiments à l’endroit précis identifié par le jeune homme.

Le Journal a eu accès aux images satellites où l’on voit différentes structures de ce qui pourrait bien être une ancienne cité. «Des formes géométriques, comme des carrés ou des rectangles, sont apparues sur ces images, formes qui peuvent difficilement être attribuées à des phénomènes naturels», affirme le spécialiste en télédétection à l’Université du Nouveau-Brunswick, Dr Armand LaRocque.

Non seulement il aurait découvert une nouvelle cité maya, mais il s’agirait d’une des cinq plus grosses.

«Quand le Dr LaRocque m’a confirmé, en janvier dernier, que l’on distinguait une pyramide et une trentaine de structures, c’était extraordinaire», a dit le jeune homme.

Il a nommé cette cité perdue K’ÀAK’ CHI’ soit «Bouche de feu» en français.

«Je ne comprenais pas pourquoi les Mayas avaient construit leurs cités loin des rivières, sur des terres peu fertiles et dans les montagnes, a indiqué William Gadoury. Il fallait qu’il y ait une autre raison, et comme ils adoraient les étoiles, l’idée m’est venue de vérifier mon hypothèse. J’ai vraiment été surpris et excité quand je me suis rendu compte que les étoiles les plus brillantes des constellations correspondaient aux plus grandes villes mayas».

Il veut y aller

Pour l’instant, personne ne s’est encore rendu dans la jungle pour voir la Bouche de feu.

William a parlé à deux archéologues mexicains à qui il a présenté ses travaux, mais ceux-ci ne s’y sont pas rendus.

«C’est toujours une question d’argent. Organiser une expédition coûte horriblement cher», a dit le Dr Armand LaRocque.

Les archéologues ont promis à William de l’amener lors de leurs fouilles. C’est le souhait le plus cher du jeune homme.

«Ce serait l’aboutissement de mes trois années de travail et le rêve de ma vie», a-t-il dit.

 Les étoiles lui ont donné la clé

 William Gadoury s’est intéressé aux Mayas à la suite de la publication du calendrier maya annonçant la fin du monde en 2012.

L’ado a trouvé 22 constellations dans un Codex Maya de Madrid.

En reliant les étoiles des constellations pour créer des formes et en appliquant avec des transparents les constellations sur une carte Google Earth, il a constaté que cela correspond aux cités mayas de la péninsule du Yucatan.

Au total, les 142 étoiles correspondent à 117 cités mayas.

Les étoiles les plus brillantes représentent les plus importantes cités.

De plus, la méthode utilisée par William fonctionne avec les civilisations aztèques, incas et harapa en Inde.

23e constellation

Il a trouvé dans un livre de référence maya une 23e constellation qui était manquante. En reliant les trois étoiles, il s’est aperçu qu’il manquait une cité maya sur la carte.

Il a partagé cette découverte avec l’Agence spatiale canadienne qui lui a fourni des images satellites de la NASA et de l’agence japonaise JAXA.

Il a visité aussi une centaine de sites web distributeurs d’images satellites qui lui ont permis de mettre la main sur des images datant de 2005, une année où un grand feu avait dévasté la région, ce qui a rendu plus visibles les vestiges de sa cité perdue.

Cagliostro,abbayes

06/05/2016

ASSEMBLEE GENERALE DE L'AAAL

fontan.jpg

Chers membres de l'AAAL,

Nous avons l'honneur de vous prier de bien vouloir participer ou de vous faire représenter à l'Assemblée Générale Ordinaire de l'Association des Amis d'Arsène Lupin (A.A.A.L.). 

Cette A.G.O. aura lieu suivant l'ordre du jour joint, le samedi 21 mai 2016 à 10h00 au :
 
JOA-Casino d'Étretat,
salle "basse"
Place Victor Hugo
76790 Étretat
 
Ce rendez-vous administratif sera également l'occasion de nous retrouver pour les Journées Lupiniennes 2016 à l'occasion desquelles nous fêterons le trentième anniversaire de notre association (réponse souhaitée avant le 7 mai 2016).
 
N'hésitez pas à demander tout renseignement d'ordre pratique, géographique, ferroviaire, autoroutier, météorologique, vestimentaire, halieutique, gastronomique, sanitaire (pipi-room) ou lupinien.
 
Pour l'horaire des marées, contactez en priorité Bison mouillé : mais sachez qu'aucun tsunami n'est prévu pour cette période.
 
Le maillot de bain n'est toutefois pas indispensable, à moins qu'il soit doublé de peau de phoque hydrofuge.
 
Pour l'horaire du petit-déjeuner, voir avec votre logeur, ou, comme nous, avec votre fidèle maîtresse étretataise.
 
Réservez dès ce soir ! Les parisiens en goguette et en week-end sont la plaie du lupinien authentique : s'il s'y prend trop tard, toutes les chambres d'hôtel sont prises et il dort sur la plage, enroulé dans sa cape et le crâne à peine au chaud dans son haut-de-forme, entre un crabe carnivore et une crevette affamée, allongé sur les galets (peu réputés, soyons pour une fois honnêtes, pour leur moelleux légendaire).
 
La balise Argos n'est pas exigée mais peut être utile.
 
Prévoir un couvre-chef, moins pour la pluie toujours fine que pour les déjections des mouettes diarrhéiques.
 
La paire de bottes étanches en caoutchouc rose bonbon n'est pas prévue dans le montant de la cotisation : cet état de fait évidemment regrettable pourra faire l'objet d'une motion de censure lors de l'Assemblée Générale.
 
Bonne nouvelle : le virus Zika n'a pas été retrouvé dans les parages, sans doute pour une question de température, fraîche certes, mais très supportable et même agréable avec un ciré de marin, un bon pull de laine, un Damart, un gilet pare-balle, un cache-nez, un bonnet, des gants en peau de mouton retourné, un caleçon molletonné, des chaussettes montantes en poil de chameau, des rangers et une bouillotte pour le soir.
 
Un casque de chantier peut être utile en cas d'écroulement des falaises mais pas d'inquiétude, dans sa grande sagesse, l'AAAL n'a prévu modestement le dimanche matin qu'une promenade en haut de celles-ci.
 
Il paraît qu'on fête, à plus ou moins 365 jours près, cette année, les 30 ans de l'AAAL : c'est bien mais pas de chi-chi ! N'apportez ni bougies, ni chrysanthèmes.
 
Une paire de lunettes de soleil par contre est indispensable : on critique, on critique, mais il fait beau, traditionnellement, lors des agapes annuelles lupiniennes...