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01/05/2013

Jean Rumain, président de l'AAAL

http://www.franceculture.fr/emission-a-voix-nue-francois-george-maugarlone-gentleman-philosopheur-15-2010-09-27.html

Par Jean-Louis Ezine, réalisation; Jean-Christophe Francis.

Au moment où s’engage, dans les controverses, le débat sur l’identité nationale, A voix nue a voulu recueillir la confession du philosophe contemporain dont l’œuvre tout entière est un hymne inlassable à la France, à son histoire, à sa géographie, à son devoir d’humanité, à sa culture, en somme à son esprit jusque dans ses contradictions les plus violentes : François-George Maugarlone. Il est l’intellectuel par excellence de l’identité nationale, une notion pourtant si versatile et frondeuse qu’elle l’a conduit à un refus obstiné de toute reconnaissance médiatique et à changer lui-même plusieurs fois d’identité.

 

Episode premier – François-George Maugarlone est un écrivain et philosophe français, né en 1947. Il s’est d’abord fait connaître sous son nom de François George. Il est notamment l’auteur d’une Histoire personnelle de cinquième République et de Présentation de la France à ses enfants. Il est aussi le fondateur de la Société des Amis d’Arsène Lupin et semble lui-même toujours en cavale. Il fuit les médias, on le dit misanthrope. Il a été longtemps secrétaire des débats à l’Assemblée nationale.

Pré-alerte "tsunami" sur la côte atlantique ? Un "Formidable Evénement"...

Par Jean-Denis Renard

 

 

Que signifie cette pré-alerte "tsunami" sur la côte atlantique ?

Suite à un séisme de magnitude 5,8 aux Açores, le Centre d’alerte des tsunamis a émis une alerte "jaune" qui concernait le littoral aquitain. Explication

La pré-alerte de ce mardi ?  Un simple message d’information que le Centre d’alerte des tsunamis a émis, un événement classé « jaune ».

La pré-alerte de ce mardi ? Un simple message d’information que le Centre d’alerte des tsunamis a émis, un événement classé « jaune ». (Photo d'illustration Laurent Theillet)

Vous n’avez rien vu, rien senti et c’est bien normal. D’ailleurs, avec ce temps de chien, vous n’étiez pas à la plage. Toujours est-il quun tsunami insignifiant, de l’ordre de quelques centimètres tout au plus, a achevé sa traversée de l’Atlantique sur le littoral français aux alentours de 11h30 ce mardi matin.

S’il n’a eu aucune conséquence visible, l’événement est suffisamment singulier pour attirer l’attention. C’est un séisme de magnitude 5,8 sur l’échelle de Richter, survenu à 8h25 heure française aux Açores, à 2000 km au sud-ouest des côtes françaises, qui a généré ce micro-phénomène. Un « petit séisme » qui s'est produit à 10 km de profondeur selon René Crusem, le responsable du Laboratoire de détection et de géophysique du CEA (Commissariat à l’énergie atomique), qui abrite le Centre d’alerte aux tsunamis pour l’Atlantique nord-est et la Méditerranée occidentale à Bruyères-le-Châtel, en région parisienne.

Opérationnel depuis le 1er juillet 2012, le Centre d’alerte aux tsunamis a pour mission d’informer au plus vite les autorités en cas de séisme sous-marin d’une magnitude supérieure à 5,5 dans l’Atlantique. « Il faut quelques minutes pour détecter le séisme. Le ministère de l’Intérieur a été prévenu dans le quart d’heure. Quelques minutes plus tard, on a pu vérifier que le tsunami ne dépasserait pas quelques centimètres à son arrivée sur les côtes françaises », précise René Crusem.

Il n’a effectivement provoqué aucun dégât. Mais même minime, un tsunami peut être perceptible. Le volume d’eau déplacé et l’énergie qui l’accompagne sont bien supérieurs à ceux d’une vague normale. Car le tsunami est une vague dont la longueur d’onde peut atteindre plusieurs centaines de kilomètres. La houle, elle, ne dépasse pas quelques dizaines de mètres. Arrivé sur la côte, le tsunami est donc poussé par une masse d’eau qui peut le faire s’engouffrer à l’intérieur des terres.

Dans le cas d’espèce, c’est un simple message d’information que le Centre d’alerte des tsunamis a émis, un événement classé « jaune ». Le stade suivant, « orange », correspondrait à un séisme susceptible d’engendrer des dommages à l’échelle d’un département français. L’alerte « rouge » est réservée à des événements majeurs, qui toucheraient l’ensemble d’un bassin, méditerranéen ou atlantique. C’est typiquement le cas du tsunami qui a ravagé les côtes de l’Indonésie et d’autres pays riverains de l’océan Indien le 26 décembre 2004. C’est d’ailleurs à la suite de ce drame qu’une réflexion a été lancée en France sur un système d’alerte aux tsunamis.

La détection de la vague et de son ampleur se fait au moyen de marégraphes. Au voisinage des Açores, il n’existe pas de bouées en mer susceptibles d’affiner le diagnostic. Et les scientifiques ne peuvent pas compter sur des données satellitaires de mesure du niveau de la mer, faute de passages réguliers de satellites au droit des zones maritimes à observer. Il n’en reste pas moins que le foyer des Açores est particulièrement surveillé.

« Les tsunamis en Atlantique peuvent être provoqués par des séismes qui ont lieu soit aux Açores, soit aux Antilles. Les conséquences sont potentiellement supérieures pour les côtes métropolitaines dans le cas d’un séisme aux Açores, car l’origine est plus proche. Un tsunami provoqué par un séisme aux Antilles devra traverser l’Atlantique. L’impact sera donc faible », explique le scientifique.

Le séisme et le tsunami qui ont ravagé Lisbonne le 1er novembre 1755 sont ainsi réputés s’être produits au long de la faille Açores – Gibraltar, qui est toujours active. « Il s’agissait d’un tsunami majeur à l’échelle de l’Atlantique nord. Il a été mesuré jusque sur les côtes nord-américaines », ajoute René Crusem. Selon une étude anglaise, un autre danger en provenance des Canaries guette les côtes européennes. Il prendrait corps en cas d’effondrement majeur dans la mer du volcan Cumbre Vieja, à La Palma. Mais cette hypothèse suscite le scepticisme d’une large partie de la communauté scientifique.

http://www.sudouest.fr/2013/04/30/pre-alerte-tsunami-sur-...

29/04/2013

4 mai : Lupin en odeur de sainteté...

Le martyrologe de France (http://www.abbaye-saint-benoit.ch/tables/l.htm) nous informe d'une anticipation pataphysique et lupinienne confirmée par le n°5 de L'Aiguille Preuve paru en 2003 : samedi 4 mai prochain, lors de nos Journées Lupiniennes 2013, nous fêterons la Saint Lupin, dont le diocèse de Carcassonne fait dire, ce jour-là, l'oraison de l'office comme suit :

"Nous vous en prions, Seigneur, soyez-nous propice à nous, vos serviteurs, par les glorieux mérites de saint Lupin, dont les reliques reposent dans l'église de Carcassonne, dans cette église où jadis il remplit saintement les charges du canonicat, afin que, par son intercession auprès de vous, nous soyons préservés en tout temps des adversités qui peuvent nous menacer. Ainsi soit-il".

Au delà des traditions locales (Carcassonne mais aussi Narbonne et Elne), l'existence de saint Lupin, chanoine et confesseur, nous est connue dès 1741 puis confirmée en 1850.

« Il est certain que l'église cathédrale du diocèse de Carcassonne occupait, au milieu du IX ème siècle, la place qu'elle occupe aujourd'hui. C'est ce qu'on doit conclure d'une visite pastorale qui y fut faite par l'évêque Christophe de l'Estang (1609). En exhumant le cercueil de bois qui contenait les ossemens de saint Lupin, ce prélat trouva une chpasse dans laquelle était scellée une feuille de parchemin manuscrite, portant qu'en 851 saint Lupin était chanoine de l'église cathédrale de Carcassonne, Liviula étant évêque et Louis Eliganius, comte » (Cros-Mayrevielle M., Les Monuments de Carcassonne, Paris, A la Librairie archéologique de Victor Didron, 1850)

Voir également (Bourges R. P., Histoire écclésiastique et civile de la ville et diocèse de Carcassonne, Paris, chez Pierre Gandouin, Pierre Emery, Pierre Piget, 1741)

Son buste-reliquaire peut être toujours vénéré dans la chapelle Saint Jean Baptiste de l'actuelle cathédrale Saint Michel.

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